Emobruits
Je verrais bien traduire :
· le tragique par la voix du spéléologue qui sourd de la terre
· le pathétique par l’expiration de la soie déchirée
· la joie par le rire de la pleine lune
· la sérénité par le mi bémol d’un piano à queue
· la nostalgie par le hululement de la chouette
· la tristesse par le « Léon ! » du paon
· la colère par le silence du cerf au fond des bois
· la beauté par l’abyssale sonorité de la voie lactée
· la honte par l’enroulement grinçant du cloporte
· le ridicule par le hoquet du cacatoès
· la jalousie par les lamentations de la glace