Habibi Ouarda !
C’est mon amie la lune qui me l’a dit ce matin…
De mes rayons nourris-toi tandis que je suis pleine
Ouvre la porte aux mille feux déclarés de ta jeunesse
Laisse le vent attiser les braises encore chaudes de l’enfance
Ton corps s’émeut et s’embrase pour un regard, une plume qui effleure ta peau
Tes nuits sont peuplées
Un homme quelque part et partout à la fois, un homme que tes rêves ne nomment pas, un homme qui transperce l’innocence de tes émois
Cet homme, Ouarda, ne l’invente pas. Le vent l’emporterait dans le désert.
Cet homme, Ouarda, chante-le !